Les constructeurs de véhicules (OEM) bénéficient d’informations exactes sur la charge des pièces, ce qui permet des campagnes d’essais plus efficaces et un développement plus rapide des produits. L’examen des informations associées aux véhicules intelligents permet en outre de préparer de nouveaux modèles de revenus basés sur l’utilisation dans les domaines de la protection, de l’assistance ou de la sécurité routière.
Les administrateurs peuvent utiliser les informations sur l’utilisation des véhicules pour la maintenance préventive et la demande planifiée de pièces de rechange. En outre, l’amélioration de l’accessibilité augmente les revenus et rend le travail des conducteurs plus agréable. Il n’existe aucune réglementation ou directive sur les véhicules sans conducteur, et la police de la circulation a déclaré qu’elle étudiait la situation.
Soyez prêts pour la tempête automobile à venir
Bien que l’organisation française ait une définition plus large des véhicules intelligents, qui est reconnue par de nombreux pays, les véhicules peuvent être classés en cinq catégories.
Si un véhicule déterminé physiquement est classé dans la catégorie 0, un véhicule à conduite entièrement autonome sera classé dans la catégorie 4, quelques prototypes de voiture électrique possèdent déjà cette capacité.
Un véhicule intelligent doit posséder un mélange idéal de connaissances écologiques, de navigation et de contrôle programmé.
Par exemple, le véhicule sans conducteur, dont beaucoup connaissent l’existence, ne peut se conduire de manière autonome que dans des rues exceptionnelles telles que le quatrième et le cinquième périphérique de Pékin ; il devrait donc être classé au niveau 3. En théorie, un véhicule à conduite autonome ne devrait pas avoir besoin d’un conducteur humain.
L’innovation en matière de véhicules est en cours de création pour améliorer le bien-être dans les rues. Les études montrent que de nombreux accidents sont dus à la négligence des conducteurs, et que les véhicules autonomes peuvent contribuer à la mise en place d’un accord entre les conducteurs, les véhicules et la rue.
Dans la conception de prototype automobile, les véhicules intelligents de classe 1 et 2 ont accompli une industrialisation proactive. En fait, Google a l’intention de lancer son véhicule sans conducteur en 2018, tandis que General Electric et BMW poursuivront en 2020. Les organisations chinoises, quant à elles, prévoient de lancer des véhicules de niveau 3 entre 2020 et 2025.
Comme l’indique la Fondation des architectes électriciens et électroniciens, les véhicules sans conducteur détiendront environ 75 % du marché automobile d’ici 2040 et modifieront ensuite le mode de transport dans les rues.
Des principes explicites sont nécessaires pour les véhicules à conduite autonome
Pour les véhicules à conduite autonome de la base d’essai public de véhicules associés astucieux est accessible au public depuis juillet.
Soutenue par le Service de l’industrie et de l’innovation des données en juin 2015, l’e-zone servira d’incubateur pour les véhicules intelligents imaginatifs.
Les organisations qui ont besoin d’envoyer leurs véhicules autonomes sur le marché peuvent mener différentes sortes de tests dans l’e-zone.
De tels bureaux et des directives explicites sur les véhicules autonomes dotés de caméra intelligente assistant devraient contribuer à l’amélioration des véhicules à conduite autonome.
Comment garantir la sécurité routière et le public ?
Étant donné qu’il n’existe pas de lignes directrices sur les aspects les plus élémentaires de la création de véhicules intelligents, les spécialistes devraient essentiellement procéder à la normalisation d’une partie de l’interaction : seules les organisations disposant d’une autorisation préalable peuvent effectuer de tels tests.
De plus, pour cela, des routes particulières doivent être planifiées et des panneaux de signalisation uniques doivent être installés.
La plus grande préoccupation concernant l’autorisation des véhicules à conduite autonome est la suivante : comment écarter les dangers délibérés ?
Un véhicule intelligent peut être totalement exempt de problèmes lorsqu’il quitte l’usine de fabrication, mais comme il fonctionne grâce à l’innovation en matière de télécommunications et au GPS, un programmeur peut le transformer en un danger potentiel.
Dans un tel cas, qui sera responsable des résultats ? Il s’agit là d’un test crucial pour l’élaboration des réglementations et des règles relatives aux véhicules électriques.
Conclusion